L’incroyable antidouleur que la France veut interdire
Bonjour
Vous souffrez d’une maladie chronique et vous ne pourrez peut-être plus vous procurer de la Mélatonine en vente libre ? Pourquoi cet antidouleur dont la renommée est mondialement reconnue, pourrait-il être interdit en France, sans l’autorisation de votre médecin ?
En lisant cet article écrit par Julien Venesson sur ALTERNATIF BIEN-ËTRE vous comprendrez qu’il s’agit peut-être d’une histoire de gros sous ! (*)
A vous de juger.
Cordialement
Cymone
ALTERNATIF BIEN.ETRE LE JOURNAL D’INFORMATION DES SOLUTIONS ALTERNATIVES DE SANTE
MARS 2015 N°102
La mélatonine en bref : la mélatonine est une hormone produite par le cerveau au niveau de la glande pinéale. Son rôle premier est de moduler le cycle veille-sommeil : sa production augmente le soir et pendant la nuit, contribuant à l’endormissement et au maintien du sommeil. En journée, la lumière extérieure frappe la rétine dans notre œil, indiquant au cerveau qu’il faut stopper la production de mélatonine. Les effets les plus connus de la mélatonine sont ceux de son impact sur le sommeil : elle est très efficace pour récupérer rapidement d’un « jet lag » (décalage horaire) ou en cas de troubles du sommeil légers.
L’incroyable antidouleur que la France veut interdire
Il existe une substance naturelle capable de révolutionner le traitement des douleurs chroniques les plus récalcitrantes. Malheureusement, la France met tout en œuvre pour empêcher son utilisation… avec un certain succès !
Des animaux qui résistent à la torture tout a commencé à la fin des années 80. Le Pr Huang Zi-Qiang, chercheur au Département de pharmacologie de l’université Fujian (Chine), et le Pr Ying shui-Wang, chercheur en sciences biomédicales expatrié à l’université mcmaster (Canada), réalisent ensemble des travaux sur des souris de laboratoire. Leur objectif : démontrer que la douleur est une sensation dont l’intensité peut varier fortement au cours de la journée. Avec fort peu d’empathie animale, nos deux chercheurs soumettent des souris à diverses tortures (car c’est bien de cela dont il s’agit) : application de plaque chauffante, injection d’acide acétique, décharges électriques dans les membres. Ces tortures insoutenables seront poursuivies pendant des semaines et permettront de constater que la sensibilité à la douleur varie fortement selon le moment de la journée : plus faible la nuit, la sensibilité à la douleur redevient plus élevée en journée. À partir de ce moment, le Pr Huang et le Pr Ying émettent l’hypothèse que c’est la mélatonine qui serait responsable de cette variation de la sensibilité à la douleur. Pour en avoir le cœur net, ils ont testé la sensibilité à la douleur des souris après de fortes injections de mélatonine ou après ablation de la glande pinéale (la glande du cerveau qui produit naturellement la mélatonine).
Résultat : la mélatonine a un puissant effet antidouleur. Ces résultats nouveaux seront reproduits par d’autres équipes de chercheurs au cours des années 2000.
Une question demeurait alors : la mélatonine est-elle efficace contre la douleur chez l’homme ? Un antidouleur aux effets proches de la morphine l’une des premières études humaines fut menée en 2005 par des chercheurs Singapouriens sur une quarantaine d’adultes touchés par le syndrome du côlon irritable, qui se manifeste par des douleurs abdominales et des troubles du transit. La moitié des malades a reçu un complément alimentaire de mélatonine (3 mg) avant le coucher et l’autre moitié a reçu un placebo. Au bout de deux semaines, ceux qui avaient reçu l’hormone ont constaté une nette diminution des douleurs abdominales. Par la suite, différentes équipes de recherche ont testé les effets antidouleur de la mélatonine. Ils ont toujours obtenu des résultats spectaculaires :
•Pour les femmes opérées d’une hystérectomie (ablation de l’utérus), la prise de 5 mg de mélatonine avant l’opération est aussi efficace que celle de clonidine, un antidouleur utilisé par les anesthésistes, et diminue de plus de 30 % les besoins en morphine après la chirurgie.
•Pour les hommes opérés d’une prostatectomie (ablation de la prostate), la prise de 6 mg de mélatonine la nuit précédant l’opération, puis 1 heure avant l’opération, diminue fortement les douleurs et supprime souvent le besoin de morphine .
•Pour les enfants nés prématurés nécessitant une intubation endotrachéale (introduction d’un tube dans la gorge pour assurer la respiration), l’injection de mélatonine diminue les douleurs et l’inflammation.
• Contre les douleurs de la fibromyalgie, la mélatonine à la dose de 10 mg est aussi efficace que l’amitriptyline (Laroxyl).
• en cas d’endométriose, la mélatonine diminue fortement les douleurs et améliore le sommeil, à la dose de 10 mg.
• Dans les douleurs temporo-mandibulaires (extrémité de la mâchoire), 5 mg de mélatonine diminuent la douleur de 39 % et l’utilisation de médicaments antidouleur de 66 %.
• en cas de chirurgie de la cataracte, 10 mg de mélatonine pris 1h30 avant l’opération diminuent nettement l’anxiété et la douleur, facilitant le travail du chirurgien 13. À première vue, les effets de la mélatonine peuvent sembler miraculeux, difficiles à croire. Comment une simple hormone du sommeil pourrait-elle être responsable de tels effets ? L’explication est simple : la mélatonine est capable d’activer les récepteurs aux opiacés, c’est-à-dire les molécules dérivées de la morphine. Plus surprenant : des chercheurs allemands ont montré que la mélatonine agissait en tant que neuromodulateur au niveau de la moelle épinière. En pratique, ce que cela signifie est très simple : la mélatonine agit comme la morphine, et si elle est prise avec la morphine, elle renforce son action tout en diminuant ses effets secondaires !
La mélatonine est donc efficace contre toutes les douleurs liées à la chirurgie et contre les douleurs les plus récalcitrantes :
- douleurs neuropathiques (diabète, ablation d’un membre),
- douleurs du cancer et de la chimiothérapie,
- endométriose ou fibromyalgie, etc.
Pour couronner le tout, elle peut s’utiliser en conjonction avec les traitements antidouleur classiques.
La mélatonine n’a qu’un seul problème : la France fait tout pour qu’il soit de plus en plus difficile de s’en procurer…
Comment la France essaye d’enterrer la mélatonine ? La mélatonine est en vente libre depuis plus de 10 ans dans de nombreux pays du monde et notamment aux Etats-Unis. En France son importation était interdite depuis longtemps, mais c’est en septembre 2011 que son histoire prend un nouveau tournant. Xavier Bertrand, à l’époque ministre de la santé, décide en effet de classer la mélatonine dans la liste II des substances vénéneuses. Cette liste contient par définition des molécules dangereuses, des drogues, ou des médicaments aux effets secondaires potentiellement graves. Cet ajout par le ministre s’est fait par « arrêté », c’est-à-dire par décision unilatérale et non concertée, mise en application par la simple force du pouvoir coercitif… La conséquence est immédiate : la mélatonine est interdite à la vente libre dès lors que la concentration est de 2 mg ou plus. À partir de ces concentrations, elle devient un médicament, uniquement vendu sur ordonnance.
Comme vous l’aurez remarqué, ce dosage limite ne doit rien au hasard : c’est à partir de 3 mg au moins que la mélatonine est efficace comme antidouleur. Pensant que nous sommes dans un état de droit, plusieurs laboratoires de compléments alimentaires, dont Arkopharma, décident de s’allier et de porter plainte auprès du Conseil d’état pour abus de pouvoir, dans le but de faire suspendre l’arrêté en question. En mars 2014 la haute juridiction rend son jugement : elle estime que le ministre « n’a pas commis d’erreur manifeste d’appréciation en estimant que la mélatonine devait être regardée comme une substance présentant pour la santé des risques directs ou indirects. » La juridiction affirme également que le ministre a produit des éléments démontrant que « l’absorption de mélatonine peut aboutir à des effets indésirables graves. » Voilà qui a de quoi inquiéter !
A LA RECHERCHE DES EFFETS SECONDAIRES PERDUS:
E n apprenant l’existence de ces « effets secondaires graves », il nous a semblé qu’il était important de les retrouver afin d’en informer nos lecteurs. Qui voudrait tomber gravement malade à cause d’un complément alimentaire ? La première chose que nous avons faite est donc de lire la liste des effets secondaires de la mélatonine vendue en France en tant que médicament (sous le nom de CIrCADIN, dosée à 2 mg). et la notice est impressionnante :
plus de 50 effets secondaires seraient provoqués par la mélatonine ! Voici environ la moitié des effets secondaires mentionnés : «Céphalées, rhinopharyngite, mal de dos et arthralgies, herpès zoster, angine de poitrine, palpitations, hypertriglycéridémie, hypocalcémie, hyponatrémie, irritabilité, nervosité, impatience, insomnie, rêves anormaux, anxiété, troubles de l’humeur, agressivité, agitation, pleurs, symptômes de stress, désorientation, réveil tôt le matin, augmentation de la libido, humeur dépressive, dépression, migraine, léthargie, hyperactivité psychomotrice, sensations vertigineuses, somnolence, syncope, altération de la mémoire, baisse de l’acuité visuelle, vue trouble, larmoiement accru, vertige positionnel, vertige, reflux gastro-œsophagien, troubles gastro-intestinaux, cloques au niveau de la muqueuse buccale, ulcération de la langue, gêne gastro-intestinale, vomissements, bruits intestinaux anormaux, flatulence, hypersécrétion salivaire, halitose, gêne abdominale, trouble gastrique, gastrite, dermatite, sueurs nocturnes, prurit, rash, prurit généralisé, sécheresse cutanée, fatigue, douleur, soif. »
Comment expliquer qu’un produit si dangereux soit en vente libre partout à travers le monde ? Pour le savoir, nous avons consulté le site des agences européennes et américaines du médicament, mais, aussi curieusement que cela puisse paraître, ces deux agences ne listent aucun effet secondaire lié à la prise de mélatonine.
Pire, l’agence européenne signale, pour le même médicament vendu en France, que « les effets secondaires les plus fréquents sont les maux de tête, la fatigue et les douleurs dorsales, mais de manière comparable au groupe prenant le placebo ».
Autrement dit : les rares effets secondaires observés ne sont pas liés à la mélatonine .
De plus, la dose toxique de mélatonine serait très élevée : plus de 160 gr par jour pour un adulte de 70 kg. Alors, où sont donc les graves effets secondaires mentionnés par le ministre
Le silence gênant Des agences françaises contactée par nos soins pour en savoir plus sur les dangers, l’ANsm (Agence chargée de la sécurité du médicament en France) n’est pas parvenu à nous répondre.
Après plusieurs échanges par mail et par téléphone et de nombreuses recherches, le service de presse n’est pas parvenu à retrouver la liste des effets secondaires graves provoqués par la prise de mélatonine ; et encore moins de la source scientifique qui les aurait découverts.
(*) Y a-t-il volonté de nous pousser à consommer des antidouleurs classiques, plus lucratifs pour le système de soin ?
Toujours est-il qu’obtenir de la mélatonine à doses efficaces contre les douleurs est impossible en France.
La seule solution pour s’en procurer à la dose de 10 ou 20 mg est d’en commander par Internet sur des sites étrangers (américains notamment).
Julien Venesson
D’après http://www.passeportsante.net/fr/Solutions/PlantesSupplements/Fiche.aspx?doc=melatonine_ps
Historique de la mélatonine
La mélatonine, qu’on a vite surnommée l’« hormone miracle », a fait naître les plus folles espérances. Aujourd’hui, le ton est plus modéré, mais plusieurs chercheurs croient qu’elle possède de nombreuses propriétés thérapeutiques, y compris dans le domaine du traitement du cancer. D’autres pensent plutôt qu’il faut traiter ce produit avec circonspection puisqu’il s’agit d’une hormone et que nous maîtrisons encore mal les effets subtils à long terme de ces puissantes substances.(…./…)
Recherches sur la mélatonine
Décalage horaire. Les auteurs d’une synthèse publiée en 2002 ont scruté les résultats de 9 essais cliniques avec placebo et ont conclu que la mélatonine était efficace et sécuritaire pour prévenir ou réduire les effets du décalage horaire2. L’efficacité du traitement est plus prononcée lorsqu’on voyage vers l’est en traversant 5 fuseaux horaires ou davantage. Ils précisent qu’il est très important de prendre la mélatonine au bon moment, sinon les effets du décalage horaire pourraient s’accentuer.
Les auteurs d’une synthèse publiée en 2009 se sont penchés sur 14 essais et ont également conclu que la mélatonine pouvait être bénéfique. Voici leurs conseils pour en augmenter l’efficacité5.
Les auteurs d’une méta-analyse publiée en 2006 ont pour leur part conclu que la mélatonine ne soulageait pas les troubles du sommeil reliés au décalage horaire3. Cependant, leur travail a été critiqué, notamment parce qu’ils n’ont pas inclus plusieurs études concluantes dans leur analyse4.
Insomnie chez les personnes de 55 ans et plus (mélatonine à libération prolongée). En juin 2007, sur la base de 3 essais ayant porté sur 681 sujets en bonne santé, le Comité des médicaments à usage humain (Europe) a approuvé le produit Circadin®, qui contient de la mélatonine à libération prolongée8. Le comité précise que ce médicament sur ordonnance est indiqué pour le traitement à court terme de l’insomnie chez les patients de 55 ans ou plus et que son efficacité est modeste, mais que ses bénéfices sont supérieurs à ses risques8. Le dosage recommandé est de 2 mg par jour, de 1 à 2 heures avant le coucher.
Est-ce que les produits à libération prolongée en vente libre en Amérique du Nord sont équivalents au Circadin? Selon le pharmacien Jean-Yves Dionne, bien qu’il s’agisse de la même molécule, on ne peut être certain qu’ils ont les mêmes effets, car les produits sont probablement fabriqués de façon différente. |
Une étude clinique randomisée a été entreprise en 2011 pour évaluer l’efficacité du Circadin® (2 mg par jour pendant 3 semaines) chez près de 722 patients âgés de 18 à 80 ans souffrant d’insomnie primaires. Comparés au placebo, la mélatonine à libération prolongée ne diminue pas le délai d’endormissement. Cependant, cette diminution apparaît significative si l’on ne prend en compte que le groupe d’âge situé entre 55 et 80 ans. Cette étude a été critiquée notamment par le nombre élevé de participants qui se sont retirés de l’étude44.
Insomnie chez des individus avec des troubles neurodéveloppementaux. Cinq méta-analyses45 ont été effectuées pour évaluer l’efficacité de la mélatonine chez des enfants souffrant notamment de troubles neuropsychiatriques.
Dans la première de ces études, les auteurs ont pris en compte 35 études portant sur des enfants atteints troubles du spectre autistique. Globalement, il en ressort que la mélatonine (0,75-10 mg/jour) améliore le sommeil (augmentation de la durée du sommeil, dimunution du délai d’endormissement et du nombre de réveils nocturnes) et le comportement diurne des enfants autistes. Il exsite cependant une variablité dans la qualité des études cliniques prises en compte.
Ces résultats ont été globalement confirmés dans deux revues46-47 portant sur 7 à 8 études cliniques, avec cependant des problèmes d’ordre méthodologique qui ne permettent pas de tirer des conclusions définitives.
Deux études48 se sont intéressées aux individus atteints de déficiences intellectuelles. L’analyse des neuf études prises en compte indique que la mélatonine augmente la qualité du sommeil (durée, délai d’endormissement, réveils nocturnes). La durée du sommeil augmentait globalement de 50 minutes. Les doses utilisées variaient de 0,5mg à 9mg de mélatonine à actions immédiate et/ou prolongée. La prévalence des effets secondaires était aussi importante que dans le groupe placebo.
Ces effets bénéfiques ont été également rapportés dans une autre revue portant sur 14 études cliniques49.
Trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité.
Une étude parue en 2010 a évalué l’efficacité de la mélatonine sur le sommeil souffrant de trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH). Cinq études cliniques50 randomisées ont été entre autres prises en compte. La mélatonine (3-6 mg/jour) administrée quelques heures avant le coucher diminue le délai d’endormissement, avec de légers effets secondaires. L’efficacité à long terme reste à déterminer.
Insomnie dans la population en général (mélatonine ordinaire). L’ensemble des synthèses et analyses publiées depuis 2001 pointe vers une réduction du temps nécessaire pour s’endormir (le temps de latence) chez les personnes souffrant d’insomnie9,10. Cependant, en ce qui concerne la durée et la qualité du sommeil, ces travaux concluent au mieux à une amélioration de modeste à modérée. Les résultats sont similaires pour les personnes qui prennent des benzodiazépines (un somnifère) et celles dont le taux de mélatonine est bas11.
Quant aux effets de la mélatonine sur la qualité du sommeil des personnes qui travaillent de nuit, les résultats sont généralement décevants, au mieux, modestes3,13-15.
Sevrage des somnifères (benzodiazépines). En ce qui concerne l’usage de la mélatoninepour aider à cesser de prendre des somnifères de la famille des benzodiazépines, les résultats sont mitigés. Au cours d’un essai chez des patients prenant de petites doses de somnifères, la mélatonine n’a pas été efficace, tandis qu’elle a été utile chez des patients prenant de plus hautes doses37. Au cours d’un essai de petite envergure (22 sujets de 65 ans et plus) 9 des 14 participants prenant des somnifères ont pu cesser ce traitement quand ils prenaient de la mélatonine (5 mg par jour)12.
Réduction de la douleur chronique. La mélatonine eu un effet analgésique au cours de nombreux essais sur des animaux. Quelques études sur les humains ont donné des résultats encourageants auprès de personnes souffrant de migraine, du syndrome de l’intestin irritable ou de fibromyalgie40. Le dosage utilisé a varié de 2 mg à 5 mg par jour.
Une étude51 réalisée en 2012 a montré que la mélatonine (en complément d’analgésiques et de sédatifs standards) diminuait la douleur chez des nouveaux-nés (moins de 32 semaines) devant être intubés en raison de problèmes respiratoires. La douleur a été évaluée selon une échelle de douleur. L’inflammation était également diminuée.
Démence. Selon une méta-analyse de 5 essais, la mélatonine peut réduire certains dessymptômes psychologiques associés à la démence (dépression, anxiété et agitation, par exemple)42. Elle n’a cependant pas d’effet significatif sur les facultés cognitives. La maladie d’Alzheimer est la forme de démence la plus fréquente chez les personnes âgées.
Une revue systématique52 incluant quatre études randomisées a analysé l’effet de la mélatonine chez des patients souffrant de démence avec des troubles comportementaux. Deux études ont rapporté une diminution de l’agitation et du syndrome des états crépusculaires. Quant à la qualité du sommeil, les résultats de sont pas concluants.
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